En août 2024, parution d’un nouveau livre aux éditions La Déviation : La cavale du babouin
En 2022 : Parution de La Politique expliquée aux enfants de Denis Langlois, illustrée par Plantu. (Editions La Déviation)
Édition spéciale 1983-2022.
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2021. "Le Voyage de Nerval" (Gérard de Nerval au Liban), récit de Denis Langlois, paraît aux éditions de La Déviation.
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Paru en 2020 le livre "Pour en finir avec l’affaire Seznec" (La Différence) de Denis Langlois (avec un cahier-photos de 16 pages) sera bientôt à nouveau disponible en librairie.
2019
Les Éditions de La Différence publient "L’Affaire Saint-Aubin" de Denis Langlois, avec un cahier-photos de 16 pages.
Un ensemble de cas où des personnes se sont donné la mort pour des raisons que l’on peut qualifier de sociales. Des êtres humains qu’on assassine.
On trouvera ci-dessous la présentation du livre par l’éditeur et un certain nombre d’articles parus lors de la sortie du livre : une interview de Denis Langlois par Jean-Marc Théolleyre dans "Le Monde" du 13 février 1976, la "Lettre ouverte" de Pierre Ganz sur "France Culture", un article de Robert Maggiori dans "Les Nouvelles littéraires", de Bernard Thomas dans "Le Canard enchaîné" et de Nicolas Domenach dans "Le Quotidien de Paris", une interview par SOS-Amitié, un extrait du livre "Suicide, mode d’emploi" où l’ouvrage de Denis Langlois est vivement critiqué par Claude Guillon et Yves le Bonniec, une lettre de Michel Foucault.
Le livre a également été associé à une pièce de théâtre "La Chanson morte" jouée au Théâtre de la Pie à Saint-Maur sur un texte et une mise en scène de Jean-Paul Dufiet.
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Un premier projet de couverture avait été écarté.
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Exposition "Les Editions du Seuil : histoires d’une maison", Bibliothèque Centre Pompidou, 2007.
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Interview de Denis Langlois par Jean-Marc Théolleyre, le Monde 13 février 1976.
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"Lettre ouverte" sur France-Culture, Pierre Ganz, 20 février 1976.
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"Les Nouvelles littéraires", 11 février 1976, Robert Maggiori.
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"Le Quotidien de Paris", 24 février 1976, Jean Falgor.
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"Le Canard enchaîné", 24 mars 1976, Bernard Thomas.
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"La Presse" (Québec), 5 juin 1976, Nicole Beauchamp.
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"Lutte ouvrière", mai 1976, Marianne Lamiral.
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"Le Quotidien de Paris", 8 novembre 1976, Nicolas Domenach.
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"Le Genevois", 20 et 27 mai 1976, Evelyn San Nicolas.
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"SOS-Amitié" Interview, mai 1976.
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Extraits de "Suicide, mode d’emploi" de Claude Guillon et Yves le Bonniec, 1982, éditions Alain Moreau.
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Lettre de Michel Foucault, 8 février 1976.
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Suicides rapportés dans "Les Dossiers noirs du suicide" :
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* Septembre 1970. Le suicide d’Albert Lefort, 18 ans, à Argentré-du-Plessis (Ille-et-Vilaine) (Pages 19 à 25)
M. Pasquet, le patron d’une entreprise de menuiserie, exige de quatre jeunes salariés qui portent les cheveux longs qu’ils se les fassent couper. Trois d’entre eux refusent et sont licenciés. Sur intervention de sa famille, Albert Lefort, 18 ans, obtempère, mais se suicide par le feu dans la cour de l’usine.
En 1974, Philippe Condroyer s’inspire de ce suicide pour réaliser son film "La Coupe à 10 Francs" avec dans le rôle du jeune suicidé Didier Sauvegrain.
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* Janvier 1970. Le suicide par le feu des lycéens de Lille. (Pages 28 à 45)
Pour protester contre la Guerre du Biafra, deux lycéens de Lille se suicident par le feu comme l’avait fait l’étudiant tchécoslovaque Jan Palach. En l’espace de deux semaines, dix personnes se suicident de la même façon en France dans ce qu’on a appelé la "série rouge".
* Juin 1975. Suicide par le feu à Pau de Jacques Andreu pour protester contre la dictature franquiste en Espagne et la répression des nationalistes basques.
– (Pages 48 à 51)
* Février 1975. Le peintre Alphonse Rodet, 84 ans, se jette dans le Rhône. Son corps est repêché au barrage de Pierre-Bénite. L’Inspection des contributions lui reprochait de ne pas avoir déclaré son atelier et la vente de quelques tableaux. Il était menacé de poursuites. Une rue de Lyon, dans le 8e arrondissement, porte son nom. (pages 67-68)
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* Novembre 1970. Maurice Guerrau, un dessinateur industriel de 50 ans, demeurant aux Mureaux (Yvelines), se suicide avec un fusil de chasse dans les toilettes de la Gare Saint-Lazare. Considéré comme trop âgé, il venait d’être licencié de l’emploi qu’il occupait depuis plus de vingt ans et n’avait pas retrouvé de travail.
(Pages 73-74)
Septembre 1971. Roland Ruchaud, ouvrier agricole de 39 ans, est licencié à la suite de la grève des travailleurs du Domaine de Solférino (Landes) appartenant au marquis de Rosambo qui ne respectait pas la Convention collective agricole. Ne pouvant retrouver un travail, il se tire une balle dans la tête avec son fusil de chasse.
(pages 95 à 98)
15 août 1970. Un retraité, Julien Dorlot, 70 ans, habitant Rueil-Malmaison, est invité à déjeuner chez ses voisins. Pour ne pas arriver les mains vides en dépit de sa maigre retraite, il se rend au supermarché de Rueil et dérobe une boîte de crabe et deux cornets de chocolat destinés aux enfants de ses voisins. Un inspecteur le prend sur le fait et le gérant porte plainte. L’après-midi deux gendarmes procèdent chez lui à une perquisition. Ils ne trouvent rien, mais lui annoncent qu’il sera convoqué devant le tribunal correctionnel. Julien Dorlot range soigneusement son appartement et va se jeter dans la Seine.
(Page 119)
